Dans le cadre du stage Histoire des arts, nous avons visité l’exposition
« Légèretés manifestes » consacrée au designer François Azambourg, au Musée des Arts Décoratifs.

Le luxe, c’est la légèreté : l’exposition retrace son travail porté essentiellement sur la recherche de la légèreté et de l’économie des matériaux.

« La légèreté, c’est aussi la musique qui est un monde aérien, qui m’a passionné depuis toujours ». À l’âge de 20 ans, François Azambourg conçoit une nouvelle version du saxophone, inspiré du monde de l’aviation, qu’il connaît car issu d’une formation technique et mécanique. « Cet univers m’a appris des notions de rendement, d’économie de moyens et des notions de sobriété. »

Dans cette rétrospective d’envergure, 200 pièces sont à l’honneur : l’occasion de se plonger dans le parcours singulier de ce designer très en avance sur son temps qui, dès le départ, a intégré des notions d’économie dans son travail, bien avant que l’écologie ne devienne une prise de conscience générale.